Les câlins combattent la déprime et le stress…
Quand on fait ou lorsque l’on reçoit un câlin, notre cerveau libère des molécules d’ocytocine qui influent sur le bonheur, le lien social ou encore l’attachement. Ces hormones engendrent un sentiment de bien-être immédiat mais également une sensation de confiance en soi pouvant être importante sur le long terme. Ces câlins font également libérer de l’endorphine (une hormone du bonheur), mais également de la dopamine (neurotransmetteur agissant sur le plaisir), qui combattent la déprime, l’anxiété et l’angoisse. Ils contribuent également à réduire les risques de maladies cardio-vasculaires, notamment en réduisant la pression artérielle et le rythme cardiaque.
…mais également les maladies
C’est donc sans surprise que de nombreux scientifiques préconisent de recevoir régulièrement ce type de marque d’affection afin d’améliorer son état de santé et de lutter contre certaines déprimes et maladies causées par l’hiver. Une étude, publiée en 2014 par le psychologue Sheldon Cohen, de l’Université de Carnegie-Mellon a prouvé que les symptômes de la grippe étaient moins persistants et moins graves chez les personnes recevant fréquemment des signes de tendresse.
VL
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